Dans la continuité de la réflexion à propos de l'eau, je vois que mon article d'hier soir n'a pas passé. Ma compétence incomplète de l'Internet, et de plus au travers de Forum Méchéria en a la responsabilité.
De ce fait je renouvelle cette réflexion. La puissance de la source d'Aïn-el-Orak me fait penser éventuellement à ce qu'elle pourrait (peut-être) apporter à la ville de Méchéria, si celle-ci en avait besoin. Il est certain que 90 kms environ les séparent en traversant la plaine d'Alfa. Par contre, avec les techniques modernes en tout genre, il ne serait pas impossible d'aboutir au résultat de ce qui est abordé : L'eau.
La ville de Paris est alimentée (peut-être partiellement) avec une telle distance du secteur l'alimentant en eau.
Sur un autre plan, j'ai abordé le problème de l'irrigation de certaines productions au goutte à goutte tel Israël le fait, et sans aucun doute pas le seul. Sur un plan, tant alimentation humaine qu'animale, je pense au topinambour, cette plante que j'ai produit industriellement un certain temps dans les années 1980-1990. De ce tubercule, j'en détiens toujours quelques pieds et je peux vous en donner quelques dizaines de kilos, si vous vouliez faire un test de comportement dans votre secteur.
Je compte sur vos réactions à l'égard de ce que je viens d'aborder.
Très amicalement à Messieurs Ahmed et Beghdad. Le Paysan de France
De ce fait je renouvelle cette réflexion. La puissance de la source d'Aïn-el-Orak me fait penser éventuellement à ce qu'elle pourrait (peut-être) apporter à la ville de Méchéria, si celle-ci en avait besoin. Il est certain que 90 kms environ les séparent en traversant la plaine d'Alfa. Par contre, avec les techniques modernes en tout genre, il ne serait pas impossible d'aboutir au résultat de ce qui est abordé : L'eau.
La ville de Paris est alimentée (peut-être partiellement) avec une telle distance du secteur l'alimentant en eau.
Sur un autre plan, j'ai abordé le problème de l'irrigation de certaines productions au goutte à goutte tel Israël le fait, et sans aucun doute pas le seul. Sur un plan, tant alimentation humaine qu'animale, je pense au topinambour, cette plante que j'ai produit industriellement un certain temps dans les années 1980-1990. De ce tubercule, j'en détiens toujours quelques pieds et je peux vous en donner quelques dizaines de kilos, si vous vouliez faire un test de comportement dans votre secteur.
Je compte sur vos réactions à l'égard de ce que je viens d'aborder.
Très amicalement à Messieurs Ahmed et Beghdad. Le Paysan de France