HADJ HOUMADA : un nationaliste , un modèle
Au lendemain de l’indépendance , Hadj Houmada , s’est investi corps et âme pour remettre sur pied l’administration algérienne désertée par les français .La tâche n’est pas facile parce ce qu’ il fallait batailler sur plusieurs fronts , répondre à une demande de plus en plus grandissante tout en participant à la formation du personnel administratif.
Hadj Houmada Tebboune , faisait partie de cette génération pour qui, le service public avait un sens sacré , lui l’homme pieux qui ne ratait jamais ses cinq prières à la mosquée , même lorsqu’il est tombé malade.
Tout le monde reconnait qu’il n’a jamais couru derrière les privilèges , que le titre d’administrateur offre à ses détenteurs .De même qu’il n’a jamais mobilisé ses nombreux contacts politiques et administratifs pour accéder à ces privilèges ; pour preuve , il s’est toujours contenté d’un logement de fonction qu’il quitta une fois son logement familial construit avec l’aide de son fils Omar , au moment où les autres refusaient de quitter les logements de fonction pour en bénéficier dans le cadre du désistement des biens de l’Etat ;ce que la logique des gens du commun refuse d’admettre.
Le 16 mars 2010 , jour de son décès et de son enterrement , les abords de la grande mosquée étaient noirs de monde .Toutes les générations ont tenu à l’accompagner à sa dernière demeure en signe de respect à un personnage qui avait consacré sa vie à son pays et à son métier et qui était devenu un exemple pour tous , lui qui vaquait à ses occupations quotidiennes sans attirer la moindre attention sur sa personne et sans se faire remarquer. Il était le premier arrivé à son travail et le denier à en sortir à tel enseigne que l’ on avait surnommé Big Ben et les gens pouvaient régler leur montre à son passage . Ses rapports et ses écrits servaient de modèle pour les agents de l’administration de la wilaya de Saida .Tous ses collègues reconnaissaient en lui l’homme sage , dévoué , intègre qui détestait le laisser –aller et la médiocrité dans le travail.
Par ce témoignage , je rends hommage à Hadj Houamada Tebboune , bien que je sache qu’il mérite plus que ces modestes lignes .
Prions Allah le Tout Puissant pour qu’Il lui accorde sa Sainte Miséricorde et qu’Il l’accueille dans son vaste paradis . Amen
ZIAD Mustapha dit "Bachir" conseiller pédagogique en retraite MECHERIA
Au lendemain de l’indépendance , Hadj Houmada , s’est investi corps et âme pour remettre sur pied l’administration algérienne désertée par les français .La tâche n’est pas facile parce ce qu’ il fallait batailler sur plusieurs fronts , répondre à une demande de plus en plus grandissante tout en participant à la formation du personnel administratif.
Hadj Houmada Tebboune , faisait partie de cette génération pour qui, le service public avait un sens sacré , lui l’homme pieux qui ne ratait jamais ses cinq prières à la mosquée , même lorsqu’il est tombé malade.
Tout le monde reconnait qu’il n’a jamais couru derrière les privilèges , que le titre d’administrateur offre à ses détenteurs .De même qu’il n’a jamais mobilisé ses nombreux contacts politiques et administratifs pour accéder à ces privilèges ; pour preuve , il s’est toujours contenté d’un logement de fonction qu’il quitta une fois son logement familial construit avec l’aide de son fils Omar , au moment où les autres refusaient de quitter les logements de fonction pour en bénéficier dans le cadre du désistement des biens de l’Etat ;ce que la logique des gens du commun refuse d’admettre.
Le 16 mars 2010 , jour de son décès et de son enterrement , les abords de la grande mosquée étaient noirs de monde .Toutes les générations ont tenu à l’accompagner à sa dernière demeure en signe de respect à un personnage qui avait consacré sa vie à son pays et à son métier et qui était devenu un exemple pour tous , lui qui vaquait à ses occupations quotidiennes sans attirer la moindre attention sur sa personne et sans se faire remarquer. Il était le premier arrivé à son travail et le denier à en sortir à tel enseigne que l’ on avait surnommé Big Ben et les gens pouvaient régler leur montre à son passage . Ses rapports et ses écrits servaient de modèle pour les agents de l’administration de la wilaya de Saida .Tous ses collègues reconnaissaient en lui l’homme sage , dévoué , intègre qui détestait le laisser –aller et la médiocrité dans le travail.
Par ce témoignage , je rends hommage à Hadj Houamada Tebboune , bien que je sache qu’il mérite plus que ces modestes lignes .
Prions Allah le Tout Puissant pour qu’Il lui accorde sa Sainte Miséricorde et qu’Il l’accueille dans son vaste paradis . Amen
ZIAD Mustapha dit "Bachir" conseiller pédagogique en retraite MECHERIA