Mon âme
Est une flamme de joie,
Dans la demeure
Les envies, du cœur roi
Vacillent sa lueur
Ainsi naissent en soi,
Les fantômes sournois.
Je reste campeur
Dans un demi obscure
Perplexe en émoi
Je ne vois, qu’ombres en moi
Un papillon danseur,
S’élance dans la lumière
Je me lève de ma torpeur
Je me noie
Dans l’onde de l’arc en ciel
Dans un tourbillon enchanteur
Le monde tourne avec moi
Axe porteur de toutes les joies
Dans un corps en sueur
Portes qui s’ouvrent au bonheur
De je ne sais quoi…
Au-delà de tout amour,
De l’éphémère et de toujours
Je tourne sans retour
Dans un lieu sans contour
Dans un temps qui n’est qu’à moi
Je me sème et me disperse
Dans les sillons qui se percent
Dans l’harmonie d’une voix
A l’écho qui foudroie
Je me livre et me délivre
De tout les liens qui se déchirent
Dans un élan en délire
Et me retrouve sans un moi.
MEBKHOUT Beghdad
Est une flamme de joie,
Dans la demeure
Les envies, du cœur roi
Vacillent sa lueur
Ainsi naissent en soi,
Les fantômes sournois.
Je reste campeur
Dans un demi obscure
Perplexe en émoi
Je ne vois, qu’ombres en moi
Un papillon danseur,
S’élance dans la lumière
Je me lève de ma torpeur
Je me noie
Dans l’onde de l’arc en ciel
Dans un tourbillon enchanteur
Le monde tourne avec moi
Axe porteur de toutes les joies
Dans un corps en sueur
Portes qui s’ouvrent au bonheur
De je ne sais quoi…
Au-delà de tout amour,
De l’éphémère et de toujours
Je tourne sans retour
Dans un lieu sans contour
Dans un temps qui n’est qu’à moi
Je me sème et me disperse
Dans les sillons qui se percent
Dans l’harmonie d’une voix
A l’écho qui foudroie
Je me livre et me délivre
De tout les liens qui se déchirent
Dans un élan en délire
Et me retrouve sans un moi.
MEBKHOUT Beghdad