SITUATION DES FORETS DANS LA REGION DE MECHERIA
Les efforts entrepris par l’état , dans le cadre du boisement de masse, a permis à la commune de MECHERIA d’avoir un patrimoine forestier assez appréciable qui a permis malgré les lacunes à créer un micro climat des plus favorables .
C’est ainsi que les flancs du Djebel Antar qui étaient dénudés ont vu pousser des pinèdes assez agréables à fréquenter : les bandes vertes qui étaient à l »époque destinés à tester la capacité de la steppe, domaine asylvatique , à recevoir des plantations de ce genre , constituent un espace assez favorable protégeant ainsi les routes du phénomène de l’ensablement et offrant tant à la faune qu’aux usages de la route des endroits pour se protéger contre le soleil .
Les ceintures vertes autour des localités étaient destinées à protéger les villes et villages contre les vents de sable assez fréquents dans la région et le boisement comme celui de Draa el Aoud sur une superficie de 1000 ha a donné naissance à une véritable foret ou viennent se reposer les citoyens de la ville surtout au printemps.
Si l’Etat s’ était lancé sur une approche d’amélioration du patrimoine forestier , force est de constater que l’approche actuelle n’est même pas celle de la préservation et l’état de ces espaces abandonnés démontre le laisser aller des responsables de ce secteur.
Les ordures et les déchets de toutes sortes envahissent les ceintures vertes qui offrent un spectacle désolant ; les agressions de tout genre (pacage illicite – coupes illicites ) sont perpétrées dans l’indifférence générale et en ajoutant à ça les dégâts occasionnés par la chenille processionnaire et vous avez un tableau peu reluisant de ce que devient notre patrimoine forestier .Et même les tentatives de regarnir ces espaces se fait sans tenir compte des erreurs du passé et la plantation du pin d’Alep continue d’être pratiquée en sachant pertinemment que cette espèce met beaucoup de temps à pousser et qu’elle constitue une proie facile pour la chenille .
Tout le monde reconnait à tous les niveaux l’importance du boisement et du reboisement dans notre région qui souffre de la désertification et de la chaleur mais in n’existe aucune stratégie ou programme ambitieux pour contrecarrer ce phénomène majeur que constitue la désertisation .
Les infrastructures de bases et les villes doivent être protégées , la création de bosquets le long des routes doit être une priorité pour permettre aux usagers de profiter de l’ombre , la fixation de dunes par des espèces appropriés doit faire l’objet d’un grand programme pour préserver la steppe et les parcours , les mises en défens avec comme objectif la régénération d’espèces locales et non d’espèces introduites come l’a triplex , le regarni les bandes vertes , la réhabilitation des ceintures vertes avec l’introduction d’espèces ayant montré leur capacité de s adapter à la region doivent être autant d’actions à inscrire dans une stratégie globale de lutte contre la désertification afin de se retrouver dans une approche d’amélioration des conditions écologiques de notre région
Les efforts entrepris par l’état , dans le cadre du boisement de masse, a permis à la commune de MECHERIA d’avoir un patrimoine forestier assez appréciable qui a permis malgré les lacunes à créer un micro climat des plus favorables .
C’est ainsi que les flancs du Djebel Antar qui étaient dénudés ont vu pousser des pinèdes assez agréables à fréquenter : les bandes vertes qui étaient à l »époque destinés à tester la capacité de la steppe, domaine asylvatique , à recevoir des plantations de ce genre , constituent un espace assez favorable protégeant ainsi les routes du phénomène de l’ensablement et offrant tant à la faune qu’aux usages de la route des endroits pour se protéger contre le soleil .
Les ceintures vertes autour des localités étaient destinées à protéger les villes et villages contre les vents de sable assez fréquents dans la région et le boisement comme celui de Draa el Aoud sur une superficie de 1000 ha a donné naissance à une véritable foret ou viennent se reposer les citoyens de la ville surtout au printemps.
Si l’Etat s’ était lancé sur une approche d’amélioration du patrimoine forestier , force est de constater que l’approche actuelle n’est même pas celle de la préservation et l’état de ces espaces abandonnés démontre le laisser aller des responsables de ce secteur.
Les ordures et les déchets de toutes sortes envahissent les ceintures vertes qui offrent un spectacle désolant ; les agressions de tout genre (pacage illicite – coupes illicites ) sont perpétrées dans l’indifférence générale et en ajoutant à ça les dégâts occasionnés par la chenille processionnaire et vous avez un tableau peu reluisant de ce que devient notre patrimoine forestier .Et même les tentatives de regarnir ces espaces se fait sans tenir compte des erreurs du passé et la plantation du pin d’Alep continue d’être pratiquée en sachant pertinemment que cette espèce met beaucoup de temps à pousser et qu’elle constitue une proie facile pour la chenille .
Tout le monde reconnait à tous les niveaux l’importance du boisement et du reboisement dans notre région qui souffre de la désertification et de la chaleur mais in n’existe aucune stratégie ou programme ambitieux pour contrecarrer ce phénomène majeur que constitue la désertisation .
Les infrastructures de bases et les villes doivent être protégées , la création de bosquets le long des routes doit être une priorité pour permettre aux usagers de profiter de l’ombre , la fixation de dunes par des espèces appropriés doit faire l’objet d’un grand programme pour préserver la steppe et les parcours , les mises en défens avec comme objectif la régénération d’espèces locales et non d’espèces introduites come l’a triplex , le regarni les bandes vertes , la réhabilitation des ceintures vertes avec l’introduction d’espèces ayant montré leur capacité de s adapter à la region doivent être autant d’actions à inscrire dans une stratégie globale de lutte contre la désertification afin de se retrouver dans une approche d’amélioration des conditions écologiques de notre région