j'aime...
La caravane, sur la crête des dunes,
qui chemine nonchalamment et dandine,
Au son d'une voix, quand la lune,
Rappelle le sourire de perles fines,
De la dulcinée , oasis à la peau brune.
J'aime...
La fantasia, où le barbe couleur métal,
S'élance fougueux, sous les hommes,
Acrobates, aux voltiges fatales.
Centaure que la foule somme,
De faire éclater la poudre en régal
J'aime...
Les lignes les unes après les autres,
Des visages se prosternant dans un même élan,
Vers le point où la parole divine de l'apôtre,
A levé l'aube sur les cœurs, vite allant,
Au savoir qui nous lie aux autres.
J'aime...
La keima aux pans entrouverts,
Laissant entrevoir la steppe le soir,
L'oiseau virevolte , ivre de humer l'air,
Qui lance un dernier au revoir,
Au troupeau revenant à l'enclos ouvert.
J'aime...
La fraternité des fils d'Adam et Ève
Effaçant le geste de Caen tueur d'Abel,
Semant l'amour dans les âmes en sève,
Et fleurit les roses les plus belles,
Au jardin de nos vies si brèves.
J’aime…
Le regard, aux rayons de bonté,
Qui nous enveloppe en caresses chaudes,
Nous rappelle que l’amour, en sort jeté
Nous délivre des démons qui rodent
Dans nos absences pour nous hanter.
J’aime…
L’homme humble qui dans un geste large,
Nous offre son orgueil en sacrifice,
Donne la mesure infinie du large
D’un océan aux fonds pleins de délices,
Pour tout homme qui y pèche sage.
Mebkhout beghdad
Mebkhout beghdad
La caravane, sur la crête des dunes,
qui chemine nonchalamment et dandine,
Au son d'une voix, quand la lune,
Rappelle le sourire de perles fines,
De la dulcinée , oasis à la peau brune.
J'aime...
La fantasia, où le barbe couleur métal,
S'élance fougueux, sous les hommes,
Acrobates, aux voltiges fatales.
Centaure que la foule somme,
De faire éclater la poudre en régal
J'aime...
Les lignes les unes après les autres,
Des visages se prosternant dans un même élan,
Vers le point où la parole divine de l'apôtre,
A levé l'aube sur les cœurs, vite allant,
Au savoir qui nous lie aux autres.
J'aime...
La keima aux pans entrouverts,
Laissant entrevoir la steppe le soir,
L'oiseau virevolte , ivre de humer l'air,
Qui lance un dernier au revoir,
Au troupeau revenant à l'enclos ouvert.
J'aime...
La fraternité des fils d'Adam et Ève
Effaçant le geste de Caen tueur d'Abel,
Semant l'amour dans les âmes en sève,
Et fleurit les roses les plus belles,
Au jardin de nos vies si brèves.
J’aime…
Le regard, aux rayons de bonté,
Qui nous enveloppe en caresses chaudes,
Nous rappelle que l’amour, en sort jeté
Nous délivre des démons qui rodent
Dans nos absences pour nous hanter.
J’aime…
L’homme humble qui dans un geste large,
Nous offre son orgueil en sacrifice,
Donne la mesure infinie du large
D’un océan aux fonds pleins de délices,
Pour tout homme qui y pèche sage.
Mebkhout beghdad
Mebkhout beghdad