Cher(e)s ami(e)s,
J'ai perdu beaucoup de nos valeurs aussi n'hésitez pas à me dire si mes messages sont trop "occidentaux", s'ils vous choquent car tel n'est pas le propos.
Je viens aujourd'hui vous parler d'une femme, ma mère. Elle était de Méchéria. Une vraie femme de chez vous.
Elle était si jolie ma chère maman. Hélas, sept fois hélas, je n'ai hérité en rien de sa beauté (je ressemble beaucoup à mon père). En plus elle était d'un caractère admirable, comme les femmes de Méchéria : douce, très bien élevée, détestant l'injure, respectueuse.
Malheureusement pour elle, comme elle devait suivre son mari, elle a dû quitter Méchéria. Et je vous assure que toute sa vie, elle a pleuré sa ville car elle ne se trouvait pas bien sur la côte oranaise. Elle trouvait les gens trop stressés, trop injurieux. Et moi qui étais sa confidente, moi qui ai tant aimé ma chère mère, elle me racontait sa nostalgie. Elle m'en parlait comme d'un paradis perdu.
C'est ainsi que j'ai tant aimé Méchéria. C'est ainsi que j'ai parlé de Méchéria dans mes livres. Et je souris aujourd'hui en pensant que des Français de Paris, de Strasbourg, de Marseille, et d'autres villes de France connaissent aujourd'hui Méchéria.
Méchéria, ville de mon père et de ma mère, ville de mes aïeux, comme je l'aime, comme je suis fière d'être de là-bas même si je n'ai pas eu le bonheur d'y naître !
J'ai perdu beaucoup de nos valeurs aussi n'hésitez pas à me dire si mes messages sont trop "occidentaux", s'ils vous choquent car tel n'est pas le propos.
Je viens aujourd'hui vous parler d'une femme, ma mère. Elle était de Méchéria. Une vraie femme de chez vous.
Elle était si jolie ma chère maman. Hélas, sept fois hélas, je n'ai hérité en rien de sa beauté (je ressemble beaucoup à mon père). En plus elle était d'un caractère admirable, comme les femmes de Méchéria : douce, très bien élevée, détestant l'injure, respectueuse.
Malheureusement pour elle, comme elle devait suivre son mari, elle a dû quitter Méchéria. Et je vous assure que toute sa vie, elle a pleuré sa ville car elle ne se trouvait pas bien sur la côte oranaise. Elle trouvait les gens trop stressés, trop injurieux. Et moi qui étais sa confidente, moi qui ai tant aimé ma chère mère, elle me racontait sa nostalgie. Elle m'en parlait comme d'un paradis perdu.
C'est ainsi que j'ai tant aimé Méchéria. C'est ainsi que j'ai parlé de Méchéria dans mes livres. Et je souris aujourd'hui en pensant que des Français de Paris, de Strasbourg, de Marseille, et d'autres villes de France connaissent aujourd'hui Méchéria.
Méchéria, ville de mon père et de ma mère, ville de mes aïeux, comme je l'aime, comme je suis fière d'être de là-bas même si je n'ai pas eu le bonheur d'y naître !