traduction du poeme oued de saida en francais
Le Zephyr ,au dessus de l'oued ,exhalait les parfums des fleurs
et, adoucissait l'air sous les caresses de ses enivrantes senteurs
les arbres murmuraient le secret de leurs feuilles en magiques rumeurs
les monts de leurs bras ouverts enlacaient les pas perdus du reveur
les souvenirs s'eveillent telles des voix lointaines:harmonie en choeur
une douleur en moi lacerante s'ecria ....où est l'elue du coeur
c' etait un astre au firmament qui m'avait ebloui de sa lueur
mes larmes coulaient alors telles les flots dans leur ardeur
un oiseau tout pres sifflait un air mélodieux enchanteur
il pleurait, en verite mais je n'avais pas su la langue de sa douleur
nous etions là tous deux quand le jour assombrit ses couleurs.
mebkhout beghdad
Le Zephyr ,au dessus de l'oued ,exhalait les parfums des fleurs
et, adoucissait l'air sous les caresses de ses enivrantes senteurs
les arbres murmuraient le secret de leurs feuilles en magiques rumeurs
les monts de leurs bras ouverts enlacaient les pas perdus du reveur
les souvenirs s'eveillent telles des voix lointaines:harmonie en choeur
une douleur en moi lacerante s'ecria ....où est l'elue du coeur
c' etait un astre au firmament qui m'avait ebloui de sa lueur
mes larmes coulaient alors telles les flots dans leur ardeur
un oiseau tout pres sifflait un air mélodieux enchanteur
il pleurait, en verite mais je n'avais pas su la langue de sa douleur
nous etions là tous deux quand le jour assombrit ses couleurs.
mebkhout beghdad